Aux Mages, l’intersection de Barrière pose problème depuis une vingtaine d’années, lorsque la déviation de la D904 qui contourne la commune a été créée. La construction du « rond-point troué » entrepris par la DDE ne donne satisfaction ni aux habitants des quartiers de Melhien, Coussac et Barrière, ni aux utilisateurs, transporteurs ou clients qui se rendent à l’usine de stores « MSL » ou au garage « Puzzle-Auto ». Cinq voies se partagent cette intersection. Le danger est effectivement manifeste : visibilité compromise par des parapets et un poteau, vitesse excessive et nombre important de véhicules (14000/jour environ). Tout cela n’a rien de rassurant et c’est la peur au ventre qu’on s’engage sur la départementale. Tous sont unanimement mécontents d’autant plus qu’ils estiment que les responsables de l’Equipement restent sourds à leurs appels au secours. Ils considèrent que leurs nombreuses demandes de mise en sécurité ne sont pas entendues sous prétexte « qu’aucun accident mortel n’est recensé depuis la réalisation de ce giratoire percé ». Ce ras le bol va en grandissant et certains esprits s’échauffent : « Faudra-t-il qu’il y ait un mort ? ».
C’est pourquoi, mercredi dernier avait lieu un grand rassemblement de protestataires à la tête desquels se trouvait Jean-Claude Paris, maire de la commune et conseiller général. Les manifestants unanimes réclament peu de chose à leurs yeux. Leur porte-parole, Maurice Da Silva exige « une sortie correcte qui garantirait la sécurité de tout le monde...». Pour tous, usagers et élus ,la solution passe par un système qui ralentirait la vitesse des véhicules dans les deux sens, de préférence un rond-point fermé .
Jean-Claude Paris appuie cette demande. Il souhaite une modification de ce rond-point troué « car il est très dangereux, il faut absolument que la commission des routes fasse quelque chose ». Il est à l’origine d’un avant projet de la DGAIS qui est à l’étude. Il lui reste à convaincre ses pairs du conseil général. Nul doute que cette manifestation l’aidera à peser de tout son poids pour essayer de faire aboutir cette légitime revendication, avant qu’il ne soit trop tard…
C’est pourquoi, mercredi dernier avait lieu un grand rassemblement de protestataires à la tête desquels se trouvait Jean-Claude Paris, maire de la commune et conseiller général. Les manifestants unanimes réclament peu de chose à leurs yeux. Leur porte-parole, Maurice Da Silva exige « une sortie correcte qui garantirait la sécurité de tout le monde...». Pour tous, usagers et élus ,la solution passe par un système qui ralentirait la vitesse des véhicules dans les deux sens, de préférence un rond-point fermé .
Jean-Claude Paris appuie cette demande. Il souhaite une modification de ce rond-point troué « car il est très dangereux, il faut absolument que la commission des routes fasse quelque chose ». Il est à l’origine d’un avant projet de la DGAIS qui est à l’étude. Il lui reste à convaincre ses pairs du conseil général. Nul doute que cette manifestation l’aidera à peser de tout son poids pour essayer de faire aboutir cette légitime revendication, avant qu’il ne soit trop tard…
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