La population mageoise, les élus des communes voisines et les représentants des associations avaient répondu en grand nombre à la traditionnelle cérémonie du nouvel an de la municipalité. Après avoir présenté ses vœux, le maire Jean-Claude PARIS rappela que l’année dernière cette fête n’avait pas eu lieu pour cause de tsunami et déplorera que l’année 2005 fut le cadre de nombreuses catastrophes,notamment au Cachemire. Ces calamités ont dévoilé le formidable et nécessaire élan de solidarité dont ont fait preuve les français et notamment les mageois « ces catastrophes ont montré que nous étions sur le même bateau et que tout l’équipage devait réagir ».Il aborda ensuite deux épisodes importants de l’année 2005, à savoir le référendum dont il souhaita que le verdict fut entendu par nos gouvernants ,et les violences urbaines dont les racines sont à chercher dans « la politique libérale qui casse les droits et les solidarités » et de regretter la violence plus insidieuse mais néanmoins dramatique provoquée par la casse du service public ,et les fermetures d’entreprises :Alsthom, les Cartonnages qui jettent les salariés et leurs familles dans le désarroi. Pour rétablir l’ordre il faut engager le dialogue,octroyer des moyens, prioriser l’emploi , la formation, la protection de la jeunesse avec une meilleure adéquation entre la loi,la police, et la justice ,les mêmes pour tous.
lundi 16 janvier 2006
Cérémonie des voeux de la municipalité
La population mageoise, les élus des communes voisines et les représentants des associations avaient répondu en grand nombre à la traditionnelle cérémonie du nouvel an de la municipalité. Après avoir présenté ses vœux, le maire Jean-Claude PARIS rappela que l’année dernière cette fête n’avait pas eu lieu pour cause de tsunami et déplorera que l’année 2005 fut le cadre de nombreuses catastrophes,notamment au Cachemire. Ces calamités ont dévoilé le formidable et nécessaire élan de solidarité dont ont fait preuve les français et notamment les mageois « ces catastrophes ont montré que nous étions sur le même bateau et que tout l’équipage devait réagir ».Il aborda ensuite deux épisodes importants de l’année 2005, à savoir le référendum dont il souhaita que le verdict fut entendu par nos gouvernants ,et les violences urbaines dont les racines sont à chercher dans « la politique libérale qui casse les droits et les solidarités » et de regretter la violence plus insidieuse mais néanmoins dramatique provoquée par la casse du service public ,et les fermetures d’entreprises :Alsthom, les Cartonnages qui jettent les salariés et leurs familles dans le désarroi. Pour rétablir l’ordre il faut engager le dialogue,octroyer des moyens, prioriser l’emploi , la formation, la protection de la jeunesse avec une meilleure adéquation entre la loi,la police, et la justice ,les mêmes pour tous.
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