Ce mardi avait lieu une réunion des chasseurs organisée par la fédération de chasse, sous l’égide de Gérard Catanèse,maire de Saint Florent en présence de Marc Vallat,directeur de la FDC 30,Georges Peyric ,secrétaire de la FDC et Daniel Pujo, chef du groupement ONCFS. C’est la deuxième fois que ce genre de rencontre a lieu. Une troisième devrait suivre, suivie d’une assemblée générale extraordinaire.
L’objectif est de régler les problèmes rencontrés les saisons passées, faire table rase des griefs personnels afin de retrouver une paix sociale chez les chasseurs. La problématique initiale consistait pour « l’Amicale Gauloise » à réintégrer l’équipe « dissidente » Serge Sugier.
Et si un consensus sur ce sujet a été assez rapidement trouvé, d’autres problèmes ont émergé exprimés par des échanges vifs, que nous qualifierons de virils.
En fait, il faut savoir que le droit de chasse est lié au droit des propriétaires des terrains sur lesquels elle a lieu.
L’ONF possède la majorité des bois de la région. Elle est le principal bailleur des sociétés de chasse, dont « L’Amicale Gauloise » qui fédère Saint Florent et Le Martinet. Mais il y a aussi des propriétaires privés qui ont donné l’exclusivité de leurs bois à des groupements particuliers de chasseurs.
Le territoire de chasse de la vallée est donc morcelé entre l’Amicale Gauloise,(elle même divisée entre la rive droite, la rive gauche, le petit gibier), l’équipe dissidente Sugier, le groupement forestier, celui des propriétaires , etc... Ajoutons à cela que quelques chasseurs du Martinet, mais pas tous, fatigués de toutes ces controverses veulent quitter l’Amicale Gauloise, réactiver leur société de chasse en sommeil et s’associer avec Rochessadoule.
Chacun prêche pour sa chapelle. D’inévitables querelles apparaissent car ni le gibier, ni les chiens ne connaissent ces subtilités et ces préséances. Ils ont la mauvaise idée de changer de territoire pendant les battues…
Il fut question de baux, de réglementation à respecter, de sécurité, d’intégralité et de délimitation des territoires pour chaque équipe, de pancartage des zones, de responsabilité des chefs de battue, de carnets de chasse, etc...
C’est cet embrouillamini qu’il faut démêler avant l'ouverture sous peine de ne pas recevoir les carnets de battue.
L’impression, amère, qui en ressort, c’est que ce sont les chasseurs eux-mêmes qui s’empêchent de chasser !
Espérons que le bon sens de chacun amènera une solution acceptable pour tout le monde.
Il y va de l’image de la chasse.
Une troisième réunion est prévue le jeudi 6 août.
En attendant le gibier batifole encore pour quelques jours dans les bois sans se soucier de savoir par qui il sera abattu, et dans quel congélateur il finira.
-->L’objectif est de régler les problèmes rencontrés les saisons passées, faire table rase des griefs personnels afin de retrouver une paix sociale chez les chasseurs. La problématique initiale consistait pour « l’Amicale Gauloise » à réintégrer l’équipe « dissidente » Serge Sugier.
Et si un consensus sur ce sujet a été assez rapidement trouvé, d’autres problèmes ont émergé exprimés par des échanges vifs, que nous qualifierons de virils.
En fait, il faut savoir que le droit de chasse est lié au droit des propriétaires des terrains sur lesquels elle a lieu.
L’ONF possède la majorité des bois de la région. Elle est le principal bailleur des sociétés de chasse, dont « L’Amicale Gauloise » qui fédère Saint Florent et Le Martinet. Mais il y a aussi des propriétaires privés qui ont donné l’exclusivité de leurs bois à des groupements particuliers de chasseurs.
Le territoire de chasse de la vallée est donc morcelé entre l’Amicale Gauloise,(elle même divisée entre la rive droite, la rive gauche, le petit gibier), l’équipe dissidente Sugier, le groupement forestier, celui des propriétaires , etc... Ajoutons à cela que quelques chasseurs du Martinet, mais pas tous, fatigués de toutes ces controverses veulent quitter l’Amicale Gauloise, réactiver leur société de chasse en sommeil et s’associer avec Rochessadoule.
Chacun prêche pour sa chapelle. D’inévitables querelles apparaissent car ni le gibier, ni les chiens ne connaissent ces subtilités et ces préséances. Ils ont la mauvaise idée de changer de territoire pendant les battues…
Il fut question de baux, de réglementation à respecter, de sécurité, d’intégralité et de délimitation des territoires pour chaque équipe, de pancartage des zones, de responsabilité des chefs de battue, de carnets de chasse, etc...
C’est cet embrouillamini qu’il faut démêler avant l'ouverture sous peine de ne pas recevoir les carnets de battue.
L’impression, amère, qui en ressort, c’est que ce sont les chasseurs eux-mêmes qui s’empêchent de chasser !
Espérons que le bon sens de chacun amènera une solution acceptable pour tout le monde.
Il y va de l’image de la chasse.
Une troisième réunion est prévue le jeudi 6 août.
En attendant le gibier batifole encore pour quelques jours dans les bois sans se soucier de savoir par qui il sera abattu, et dans quel congélateur il finira.