On ne sait comment la Providence tisse sa toile. Toujours est-il qu’un jour sa route a croisé celle de Bachir, le sympathique patron de Puzzle-Auto…Une belle amitié est née entre les deux hommes.
C’était le moment où François tomba gravement malade. Il connut alors véritablement, enfin, ce qu’était la valeur de la camaraderie, la protection prévenante et attentionnée d’un véritable ami. François est devenu partie prenante du garage, donnant un coup de main, allant chercher les pièces détachées, menant les voitures au contrôle technique. Des activités qui lui faisaient oublier sa maladie, sa solitude…
Extrêmement gentil et serviable, discret, toujours souriant malgré sa souffrance et les attaques incessantes et insidieuse de la maladie.
Très attachant, François était apprécié de tous…Pour une fois dans sa vie, il était heureux.
Ce dimanche, François s’en est allé, seul, au pied de sa cabane du Marican…
C’est son ami Bachir, inquiet de ne pas le voir depuis deux jours qui l’a trouvé, qui s’est occupé de tout, pour que son départ soit digne, comme lui-même le fut…qui a récupérer ses chiens…
Pas d’avis d’obsèques. Aux funérailles de François, il n'y aura peut-être pas grand monde, mais il y aura du beau monde. Que des copains … des amis…
Une vraie famille celle-là !...Enfin !
Que ce modeste mot soit pour François, cet inconnu au grand cœur le témoignage de son existence, afin qu’on n’oublie pas, qu’on sache que c’était un brave homme, parti trop tôt à 46 ans… Une occasion aussi pour souligner la grandeur d’âme et le charisme de Bachir Igroufa…
C’était le moment où François tomba gravement malade. Il connut alors véritablement, enfin, ce qu’était la valeur de la camaraderie, la protection prévenante et attentionnée d’un véritable ami. François est devenu partie prenante du garage, donnant un coup de main, allant chercher les pièces détachées, menant les voitures au contrôle technique. Des activités qui lui faisaient oublier sa maladie, sa solitude…
Extrêmement gentil et serviable, discret, toujours souriant malgré sa souffrance et les attaques incessantes et insidieuse de la maladie.
Très attachant, François était apprécié de tous…Pour une fois dans sa vie, il était heureux.
Ce dimanche, François s’en est allé, seul, au pied de sa cabane du Marican…
C’est son ami Bachir, inquiet de ne pas le voir depuis deux jours qui l’a trouvé, qui s’est occupé de tout, pour que son départ soit digne, comme lui-même le fut…qui a récupérer ses chiens…
Pas d’avis d’obsèques. Aux funérailles de François, il n'y aura peut-être pas grand monde, mais il y aura du beau monde. Que des copains … des amis…
Une vraie famille celle-là !...Enfin !
Que ce modeste mot soit pour François, cet inconnu au grand cœur le témoignage de son existence, afin qu’on n’oublie pas, qu’on sache que c’était un brave homme, parti trop tôt à 46 ans… Une occasion aussi pour souligner la grandeur d’âme et le charisme de Bachir Igroufa…
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