Ce mercredi le préfet Bousiges se déplaçait dans plusieurs communes du Piémont cévenol, région qu’il affectionne particulièrement puisque la maison de ses ancêtres et le tombeau familial se trouvent à Saint Florent où, enfant, il venait régulièrement passer ses vacances. « Quand j’arrive dans la vallée de l’Auzonnet, j’éprouve une émotion particulière ».
Il est donc très attentif aux problèmes de nos villages et particulièrement du Martinet dont il connaît parfaitement les dossiers.
Une petite réunion mairie en présence de Jean-Claude Paris, conseiller général, a permis au maire Michel Mercier de faire le point sur les différents problèmes qui touchent notre commune. Après l’historique du Martinet, il fut question de la récesion économique consécutive à la fermeture des mines, de la lutte pour le maintien de la Poste, de la sauvegarde du collège du Martinet dont tous ici souhaitent le maintien dans son intégralité « Vous êtes le dernier rempart pour conserver le collège », de l’intercommunalité, de la créations plusieurs micro-entreprises qui se développent et qui prospèrent.
Le maire évoqua un projet de voie verte à l’emplacement de l’ancienne voie ferrée, du terrain de camping, du PPRI. Lorsqu’il fut question de l’aménagement de la traversée du village, le préfet très au courant de ses dossiers répondit qu’il avait décidé d’aider Le Martinet « sur sa cassette personnelle ». Le préfet s’est ensuite rendu au collège, où il fut reçu par le Principal Christian Chambon, puis au camping municipal.
Chacun au Martinet croit au potentialité de sa commune, et fait tout son possible pour qu’elle prenne un nouvel essor , avec une composante axée sur sa ruralité et sur la qualité de vie .
Un village choisi par de nouveaux habitants parce qu’il fait bon y vivre… et qu’il a un collège très familial...
Un village choisi par de nouveaux habitants parce qu’il fait bon y vivre… et qu’il a un collège très familial...