Le premier point à l'ordre du jour concerne
l'électrification de la commune gérée par le SMEG (syndicat mixte
d'électrification du Gard). Celui-ci se décline en trois parties. Tout d'abord
le projet de renforcement du Poste "Mages" pour un montant de 18 000€ TTC
entièrement pris en charge par le SMEG sans aucune participation financière de
la commune. Quant à la sécurisation du
poste « Mages » - Quartier des Écoles, le montant du projet s'élève à 63 600€
TTC, avec une participation 2650€ pour la commune. Voté à l'unanimité.
Il est ensuite question de l'implantation d'une borne
pour les véhicules électriques. Cette opération, dont les travaux ont a déjà
débuté nécessite la signature d'une convention avec le SMEG, l'approbation des
travaux d'implantation de la borne, l'autorisation d'occupation du domaine
public, ainsi que celle au SMEG d'assurer la gestion et la maintenance,
l'engagement du paiement de la part communale :( Frais d'investissement :
montant maximum de 500 € TTC. Frais de fonctionnement : Montant estimé de 240 €
TTC). Voté à l'unanimité.
Concernant le régime indemnitaire des employés
municipaux, le conseil remplace sa délibération du 30 septembre 2016 en
fonction des montants de référence par grade. Le montant ne change pas, mais la
méthode de calcul ayant été modifiée, il convient de le représenter sous cette
nouvelle forme. Voté à l'unanimité.
A propos de la convention avec le site du Pont du Gard,
le maire expose que le Conseil d'Administration du Pont du Gard a fixé de
nouvelles modalités d'accès au site. Il n'y aura plus de carte d'abonnement par
foyer mais un accès gratuit par personne sur présentation de la carte
d'identité et d'un document justifiant le domicile dans les communes gardoises.
Voté à l'unanimité.
Le produit amendes de police est alloué une année sur deux.
Le conseil approuve une demande d'aide financière au titre des amendes de
police 2017 afin de terminer la tranche 3 de l'aménagement cœur de village
destiné à la sécurisation des piétons jusqu'au cd 904. Le montant des travaux
s'élève à 50 158.00 €. Voté à l'unanimité.
Le conseil fait une reprise de sa délibération du 30
septembre 2016, à revoir en fonction des montants de référence par grade. Le
montant ne change pas, mais la méthode de calcul ayant été modifiée, il
convient de le représenter sous cette nouvelle forme. Voté à l'unanimité.
Suite à la fusion de la communauté de communes
Vivre-en-Cévennes, il convient de signer une convention service ADS
(autorisation droit du sol) avec Alès Agglomération. Celle-ci concerne
l'instruction des certificats d'urbanisme et les permis de construire qui
étaient auparavant partagés à mi-temps avec la Grand-Combe. Voté à l'unanimité.
Le maire, propose qu'une aide soit demandée au député au
titre de sa réserve parlementaire pour la rénovation du toit de la Poste.
Celle-ci peut s'élever aux environs de 5 000 €
Le point suivant concerne deux mises à l'honneur de
concitoyens Mageois disparus l'année dernière, qui ont beaucoup œuvré pour la
commune.
Tout d'abord, il est décidé que le stade portera désormais le nom
d'Alain Pascal en reconnaissance de son très grand investissement et son
dévouement bénévole pour le football et particulièrement les jeunes au sein de
l'EFVA.
De même la médaille de la ville sera décernée à titre
posthume à Edmond Muller qui s'est lui aussi beaucoup dévoué lui aussi pour la
commune en tant que maire adjoint, ainsi que sur le plan associatif.
Jany Sans prend la parole pour apporter un démenti
concernant le PPRI (Plan de prévention des risques d'inondation) et le PCS
(Plan Communal de sauvegarde), qui selon les affirmations d'un "certain blog", seraient
inexistants sur la commune. Elle donne point par point la preuve du contraire
en citant les dates de DUP, réunions, arrêtés, affichages, attestations,
documents distribués à la population, la preuve que le PPRI, ainsi que le PCS
sont établis de façon réglementaire, sachant que le PCS est en cours de
révision. Concernant le PPRI, celui-ci est utilisé touts les jours pour
l'instruction des permis de construire.
Ce que contredit par l'élu d'opposition, mais Jany Sans
lui montre le PV concernant le conseil municipal du 20/06/2014 et qu'il a
signé… Chacun campe sur ses positions.
Une question de l'élu d’opposition à Jean-Marc Orlandini
concernant une plainte que ce dernier a déposée, mais qui a été classée sans
suite échauffe les esprits. S'ensuit un échange contradictoire assez vif où chacun
oppose ses arguments. S'appuyant sur des réponses du Procureur de la République
l'opposant soutient que le dossier a été classé au pénal faute de preuves
suffisantes, Jean-Marc Orlandini affirmant qu'il a refusé de poursuivre au
civil car la personne incriminée n'était pas solvable.
Le maire interrompt cet
échange houleux et lève la séance. Il interpelle alors l'élu d'opposition pour "lui dire combien il le méprise pour
ses attaques contre les conseillers municipaux et en particuliers les conseillères
", mais ce dernier quitte la salle sans l'écouter.