La castagnade organisée par la mairie a connu cette année encore un grand succès. L'heure choisie à 17 heures, permet aux enfants de participer à cette fête très conviviale et de prolonger un peu la dernière journée de classe avant les vacances de la Toussaint et de rappeler que cette fête des châtaignes est une tradition ancestrale et festive qui réunissait autrefois les voisins, les amis, les copains. Auparavant un groupe de volontaires et de conseillers municipaux ont préparé la brasillée. Fendre les châtaignes, préparer la flambée qui permettrait de griller dans les padelles les 25 kg de châtaignes prévues, tout cela dans la bonne humeur.
Le temps étant de la partie, beaucoup de monde s’était rassemblé sur le square Fernand Gineste pour participer à cette sympathique manifestation conviviale. Discussions en savourant des châtaignes et en buvant du vin de pays ou du jus de fruits, comme autrefois lorsque les gens vivaient au rythme de la nature et trouvaient toujours un prétexte pour se réunir. Au moment des châtaignes, le soir venu, on se réunissait entre voisins autour d’un feu pour faire une brasillée. On discutait, on riait, on buvait de la piquette. Les enfants joyeux, étaient de la partie. On se sentait en famille. Moments délicieux qui s’étaient hélas perdus, rançon d’une vie moderne où chacun se replie un peu sur lui-même.
Il ne fait aucun doute que la brasillée cévenole, un moment oubliée, revient au goût du jour. Celle de Saint-Jean connaît est très appréciée par la population, ce qui n’est pas pour déplaire au maire Bernard Hillaire et son conseil municipal.
Le temps étant de la partie, beaucoup de monde s’était rassemblé sur le square Fernand Gineste pour participer à cette sympathique manifestation conviviale. Discussions en savourant des châtaignes et en buvant du vin de pays ou du jus de fruits, comme autrefois lorsque les gens vivaient au rythme de la nature et trouvaient toujours un prétexte pour se réunir. Au moment des châtaignes, le soir venu, on se réunissait entre voisins autour d’un feu pour faire une brasillée. On discutait, on riait, on buvait de la piquette. Les enfants joyeux, étaient de la partie. On se sentait en famille. Moments délicieux qui s’étaient hélas perdus, rançon d’une vie moderne où chacun se replie un peu sur lui-même.
Il ne fait aucun doute que la brasillée cévenole, un moment oubliée, revient au goût du jour. Celle de Saint-Jean connaît est très appréciée par la population, ce qui n’est pas pour déplaire au maire Bernard Hillaire et son conseil municipal.