Natif de Saint-Jean-de-Valériscle, il en parti pour l’Algérie, puis son tempérament baroudeur l’a fait voyager un peu partout avant de venir s’ établir avec son épouse au Martinet où il partageait son temps entre la cuisine, les boules, la pêche et la philatélie.
Avec sa bonhommie, sa grande gueule, mais un cœur généreux, il ne passait pas inaperçu. Mais c’était lui.
Beaucoup de ses amis l’accompagnaient pour son dernier voyage par une chaude après-midi de mai.
Nous présentons nos sincères condoléances à son épouse Marie et sa famille dans la peine.
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